À vrai dire, je serais bien restée en 2012, si l'on m'en avait laissé le choix — ce fut si riche et si intense que j'ai fini l'année sur les rotules.

Je reviens très vite, promis, pour vous parler de strudel, de punsch, d'escalopes géantes, et sans doute aussi d'autres choses qui n'ont rien à voir.

En attendant, je vous souhaite, mes chers amis, une année 2013 aussi belle que 2012 l'a été pour moi — l'épuisement de décembre en moins.

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